Comme une soudaine envie de vous dire je t'aime, de vous dire combien je tiens a vous mais combien je vous vous déteste, combien un simple mot sortis de votre bouche me donne envie de vous taper.
Je sais pas comment dire ça.
Je vous aime, bien plus que vous le pensez, bien plus que vous m'aimez.
Mais je vous déteste et ça, bien plus que je ne vous aime.
Relisez bien et comprenez la vraie signification de mes mots (maux ?). Si toute fois quelqu'un voit ceci.
Parce qu'à trop vivre en espérant on finit par mourir désespéré. Et qu'à ce moment là on tombe de haut en se faisant bien mal. J'en ai des équimoses d'avance.
C'est dur d'être compliqué. Pourtant j'y arrive super bien, je sais pas je dois avoir un don.
Tenir, se retenir à ce qui nous reste.
Lever les bras pour contester, les baisser pour abandonner.
J'ai du mal à dire ce que je pense. Alors je le cris, je l'écris.
Des fois, on fait des choses qu'on regrette ou d'autres fois on regrette de ne pas les avoir faites. Non et Je t'aime. Si simple, pourtant si compliqué.
Un vieil inconnu dans la rue en me parlant : " - Bah souris !
- Oui bon ! "
On est plus à ça près de toutes manières. Le dire. Le redire. Le je t'aime. Celui qui ne veux plus rien dire. Celui qui fait aussi mal qu'il redonne de l'espoir. C'est moche. C'est un mot tellement mécanique, dénué de sens. Il rassure les imbéciles, fait sourire les niais et me désespère.
J'suis plus à ça près de toutes manières.
J'ai tellement de choses à vous dire, vous raconter, vous expliquer, que tous les mots/maux sur Terre ne suffisent pas. Alors je laisse parler le silence.
J'y arrive pas, j'me sens absente. J'souris pour dire que ça va. Parce qu'au fond j'sais plus quoi penser. J'suis bien là. Mais j'voudrais tellement plus. J'voudrais repartir. Sans jamais revenir. Sillonner la France. Rester une semaine là, un mois ici. Pas plus. J'veux juste ça. Vivre. Une caravane, un chapiteau, une scène, une vie. Liberté. J'aimerais tellement y retourner. Faire pleurer les gens, les faire sourire, leur donner tout ce que j'ai en moi pour les voir réagir. Être heureux. Simplement. Faire mes cours dans le salon de ma caravane au lieu de rester enfermé dans un putain de lycée. Regarder par ma petite fenêtre et voir des gens rigoler en faisant des équilibres. Ici, la même rengaine, les jours qui passent et qui n'en finissent plus. J'suis dans cette salle de cours, pourtant, en vrai je suis parti. Revoyant toutes ces images que je garde plus que précieusement. Cette année o7/o8 qui a fait ma fierté. Voyageant, encore et toujours pour ne jamais rester au même endroit. Voyager et être heureux d'être là. Rencontrer des gens fabuleux, s'en détacher. La vie en accélérée. Les jours passent mais ils sont toujours là. Invisibles. Je me rappelle de tout ces moments passés, qui m'ont fait frémir, pleurer, rigoler, chanter, m'exprimer. J'ai tant besoin de cette bouffée d'air pur. De cette vie au jour le jour. De se rêve éveillé. Ici, je suis comme un oiseau enfermé dans une cage à qui ont fait bêtement des sourires. Comme un papillon qui n'attends que le jour où il pourra enfin s'envoler au lieu de ternir encore et toujours pour mourir bientôt.
Fumer une clope, au soleil, un carnet à dessin posé aux pieds, une brise fraiche qui soulève nos cheveux pour venir doucement s'écraser sur notre nuque. Une couronne de pâquerettes dans les cheveux, les jambes à l'air pour bronzer dans le but de rattraper les dégâts de l'hiver. Une pince à épiler pas trop loin, de la musique qui nous emporte loin, ou simplement le silence. La fumée qui s'évapore comme nos envies, la cigarette qui se consume trop vite comme notre vie. Les brins d'herbes qui chatouillent nos pieds, les coccinelles et autres trucs moches viennent nous tenir compagnie dans notre immense solitude voulu, la tête dans les nuages et les yeux dans les étoiles. On se perd dans la chaleur et la grandeur de ce monde, on cherche sans trouver, les réponses aux questions que l'on se pose. Qui suis-je réellement. Pourquoi est-ce que les poules c'est cons comme ça. Ou pas. Insouciante, je regarde le vent pousser les nuages et mes questions. Dans mon univers je me perds sans pouvoir retrouver le chemin. Alors je me lève, secoue ma jupe pour ôter quelques brins d'herbes, et je repars dans le flot de la vie, qui nous porte, nous emporte, nous tient, nous retient, nous tue, sans revivre.
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║Envie de le dire sans le dire.║
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Trop de mal à trop gens.
Deux solutions.
Dans les deux cas j'ai mal.
Putain oui, ce que j'aurais mal !
J'veux crier ce que je pense sans tenir compte des gens. Mais impossible.
Je cris en silence, étouffe mes peines et ravale ma douleur.
J'ai qu'une envie, c'est de tout vous dire, l'écrire, le chuchoter, le chanter, le mimer, le danser, le dessiner, le souffler, le montrer, le crier, le hurler jusqu'à plus de voix. Mes sanglots et mes larmes sauront aussi vous le dire. Sans doute que vous ne le comprendrez pas.
SALOPE; bonjour c'est moi, que puis-je pour vous ? Sauter de ma fenêtre ? Ok.
Je veux penser sans avoir à rendre des comptes aux gens.
Je suis un brouillon. Toute crayonné, avec des maux mals effacés.
C'est le temps des moussons dans mes yeux et les tempêtes qui ravagent mon coeur n'ont de cesse de souffler.
Le Mistral dans mes cheveux les emmêlent et cache mes yeux rouge et ma tête bouffie par les coups que je prends chaque jour.
Je n'existe pas, plus, j'en ai plus envie. Supporter la douleur des autres chaque jour et savoir que se soir en rentrant il n'en n'auront rien à faire des autres.
Les gens me donne envie de vomir, se croyant tous plus mal en point que les autres ne pensant qu'à eux. Égoïste. Avare de leurs bonheurs et de leurs bien-êtres. Je ne suis pas triste mais juste assez réaliste pour vous dire ça. Je ne vous aime pas. Non, loin de là. Même pas fichu de voire qui je suis. Le corps meurtri par les remarques et les sous-entendu. Je vous emmerde. Je pari que vous n'êtes pas capable de me dire qui je suis vraiment.. Ahahah je rigole de votre insouciance, vos pas hésitant. Je vous attends. Je suis qui je suis, quelqu'un que vous ne connaissez pas. Cela vous arrange sûrement. Vous me voyez comme vous avez envie que je sois. Alors je suis, selon vous. Selon vos envie. Celle qui rie. Celle qui console. Celle qui pleure. Je ne suis pas, plus. Vous m'avez eu.
"Le malheur des uns, fait le bonheur des autres."
Mon cul ouais ! Ca marche aussi à l'inverse.
Regarder les autres être heureux, ne sachant pas où ils puisent la forces de l'être. Ils se réfugient dans les bras de ceux qui les aimes et qui les protèges. Et moi j'vais où ? J'essuie d'un revers de la main toutes les peines et les histoires d'amour que les gens viennent me raconter. Moi j'ai moi, moi et un vide, un mur. Arf' ça fait un peu désespérée mais bon, je suis désespérée alors à quoi bon mentir sur ce que je ressens en ce moment. Solitude. Putain. Les gens me font rire, je rie de leur malheur et meurt de leur bonheur. Oui, quand on est heureux on aime bien le dire à tout le monde, mais pourquoi à moi. Moi j'ai mal alors ta gueule. Tu le sens le couteau que tu m'enfonces dans la poitrines là ? C'est bon, t'aimes ça ? J'veux tout casser... vous vexer et vous blesser au point d'en pleurer. Mais je le fait pas. J'aime pas décevoir.
Je suis moche. Conne. & Trop gentille. J'voudrais dire stop, dire non quand on me demande un truc avec des yeux de chat, me mettre réellement en colère contre les gens à qui je n'oserais pas par politesse et gentillesse et surtout garder mon amour. Trouver les mots qui vont bien, sourire pour faire bien, jouer l'amie fidèle... j'peux plus, j'ai mal au cœur ça va trop vite. J'voudrais juste mourir. Lâchement. Et les regarder s'en foutre pour avoir une énième raisons de pleurer en cachette. J'ai plus envie de jouer mon rôle. J'veux juste vous cracher à la gueule et vous expliquer que vous ne valez pas mieux que moi. Ne me prenez pas pour ce que je ne suis pas. Je vous emmerdes.
Plus on grandit plus on change. Le truc c'est qu'on ne s'en rends pas forcément compte. Ou pas directement. J'sais pas trop. Quand je regarde les gens je me dis, mais putain ils ont trop changés ! Mais peut-être aussi que c'est moi.. non, c'est sûre mais est-ce que ça serait pas plutôt tout le monde qui change ? Enfin. Je vois les gens autour de moi. Ils sourient se prennent dans les bras et se disent qu'ils s'aiment et s'aimeront toute leur misérable vie. Mais pourquoi moi je n'y arrive pas et pourquoi est-ce que pour y arriver je suis obligé de me forcer. J'suis largué. Les gens ont tous le sourire, rigole, profite de la vie, se dispute, se réconcilie, tombe amoureux, se détache... pourquoi moi tout ça ne m'arrive pas ? Alors ok, un sourire c'est pas dur, ni profiter de la vie, mais je sais pas moi ça me demande une certaine réflexion. Pourquoi est-ce que je réfléchie tout le temps. Pourquoi est-ce que je ne suis pas capable de foncer quitte à me ramasser ? Je sais pas mais les gens ils sont tout le temps en train de s'engueuler avec d'autres mais ça je comprends pas. Pourquoi est-ce que moi je m'engueule avec personne ? ça peut paraitre vraiment trop con comme question mais c'est vrai quoi ! Ça signifie quoi ? C'est moi qui suis trop gentille ? J'ose pas dire aux gens ce que je pense réellement d'eux. J'peux pas. C'est trop méchant. Comment on peut dire à quelqu'un qu'on ne l'aime pas ? Un simple non, un simple je ne t'aime pas, tu ne m'intéresse pas ? Comment ? C'est trop méchant. Mais je me demande si le fait justement de ne rien dire laisse pas quelques espoirs inexistant. En faite je suis un peu méchante sans le vouloir. Putain. J'aime pas ça. J'ai peur de m'engager, de faire un truc que je regretterais après. Dire la vérité aux gens c'est trop dure pour moi. J'ai peut être peur de l'entendre. J'dois avoir un problème... à méditer. Non, j'en ai marre de réfléchir à tout. Que ça soit de la façon dont je marche à comment je vais parler ou regarder les gens. Ça fait un peu parano mais c'est juste que je n'ai absolument pas confiance en moi. J'ai peur de la vérité de ce que pense les gens. Si j'avais un pouvoir, ça serai de lire dans les pensées des gens ou me rendre invisible pour les écouter parler. Et ça depuis toute petite. mais pourquoi ?? Déjà, en écrivant au kilomètre sur ma pensé je viens de me rendre compte que si je ne disais pas, ou plutôt si j'ai peur de dire la vérité aux gens ou se que je pense d'eux c'est juste parce que moi j'ai peur. Peur d'être jugé. Ça me pourri la vie. Faire un pas et me dire est-ce que les gens derrière moi trouve que je marche bizarrement ? Est-ce qu'ils vont me juger juste par rapport a ça ? Putain j'en ai juste ras le cul d'entendre les gens se plaindre. J'veux crier et montrer aux gens ma face cachée celle que je ne dévoile à personne encore par peur d'être jugé. Alors je montre une Angèle que tout le monde a envie de voir, jusqu'à trop de perfection et que du coup je me pose encore plus de questions, est-ce que cette fausse Angèle plait plus aux gens que la vrai et inversement ? Je voudrais être comme les gens aimerait que je soit. Mais c'est dur et ça fait mal, j'encaisse , avance et doute. Doute. Doute. Doute. J'sais pas j'sais rien et putain ce que ça fait mal. J'voudrais être à la fois, la Angèle tel que les gens aime la voir, souriante même quand ça va pas, celle qui avec son sourire le redonne aux autres, la généreuse ou la timide qui d'un coup devient la folle un peu curieuse, celle qui conseil, celle à qui on peu jeter son complexe de poids sans dévolu à la gueule sans pour autant qu'elle t'en veuille... j'voudrais tant, mais elle, elle me fait trop mal. Une impression d'usurpation, de fausse identité. J'voudrais aussi, surtout, être la Angèle, grande gueule, qui n'a pas peur de faire ou d'avoir mal, celle qui s'en fout de tout mais qui s'y intéresse quand même, celle qui n'a pas peur de pleurer devant les gens, celle qui pourrais te faire la gueule et t'en vouloir quand tu l'enfonces encore un peu plus chaque jour en lui disant qu'elle est maigre (je ne suis pas maigre mais mince bordel de merde de cul à chiottes et j'y peut rien ça s'appelle morphologie !) alors que c'est toi qui est gros. Voilà, je voudrais être elle. Mais elle aussi me fait mal. J'ai envie d'essayer de vous plaire. Je sais que je n'en ai pas besoin, mais c'est plus fort que moi. C'est peut être ça changer, grandir.
La Douleur. Celle qui vient du fin fond de nos tripes. Le Su*c*de.
Et d'un coup j'en prends conscience. Dans ces moments là, on a l'impression d'être seule, que personne ne nous comprends et que entre grandes parenthèses on ne nous aime pas. Faux, diriez-vous. Et bien vous auriez raison. Mais quand on se retrouve face à nous même avec ça, comme seul échappatoire, la question ne se pose même plus. Avare de notre bonheur qui n'est plus. On devient lâche et égoïste, avouons-le.
Trop de remise en question. Des idées malsaines dans la tête. Et tout ça qui ne veux pas sortir. Alors on cherche. On cherche des choses, des trucs, qui serraient susceptible de nous faire oublier à quel point on est minable.
On a l'impression de toucher le fond mais de ne pas arriver à remonter. Alors on commence a manquer d'air, on s'étouffe, dans notre sombre et maladroite mélancolie.
J'ai pas osé. Des gens y arrive, toi par exemple, mais pas moi. Pourtant des fois c'est pas l'envie qui manque.
Une fenêtre, de l'air, une clope, le vide.
Je dis ''on'' à chaque fois mais c'est parce que je ne me sens pas assez forte pour assumer que c'est moi, que c'est comme ça.
Ps; J'te connais presque pas, mais j'ai envie de te donner tout mon amour, mon courage et mes forces. Si tu veux, je te les apporterais sur un plateau d'argent, nappée d'un fin velours rouge et je m'agenouillerais devant toi en te priant de bien vouloir les prendre car sinon de toute façon, je te les carres dans le cul ! (...) Pfff'
V.♥
Parce que la vérité et la réalité font trop mal aux yeux, je m'évade, m'enfonce et me renferme dans ma bulle.
A ce moment là, la musique et l'écriture sont mes seuls échappatoires.
Quand j'écoute cette chanson, une subite envie de rêver se loge dans ma tête. D'un coup je me me retrouve dans un univers parallèle au notre où je suis libre. Mon esprit volatile s'envole sans me demander la permission et s'évade dans des endroits magnifiques où seule, je chante, danse et rêve à volonté. Cette chanson me donne vraiment envie de danser de tourbillonner et de chanter. J'ai aussi envie d'être en robe, les cheveux détachés, dans la neige, de la musique à fond dans les oreilles et un appareil photo dans la main. (Rêve d'enfant) Des fois la musique si puissante est-elle je m'emporte ailleurs. Et je penses à toi qui n'existe pas, cette amour parfait qui m'ignore et m'évite comme la peste. Et mon visage se décompose, un sourir se forme sur mes lèvres mais une arme coule, toujours. Elle suis le trajet de mes peines, descends le long de ma joue, passe au coin de mes lèvres, vient finir sa route sur mon menton et s'écrase au sol et éclate en milles morceaux emportant avec elles les souvenirs malheureux et les peines volées, inavouées ni à moi-même, ni a vous.
Et vas-y que je me goinfre avec du chocolat (pour changer), en pensant que demain sera meilleurs que les 15 petites et insignifiantes années que j'ai vécu. Même si il y a une année que je revivrais volontiers si on me le reproposait ! Oh ça oui ! Attends, vivre un an en caravane, en travaillant dans une compagnie de Théatre/Cirque en voyageant dans toute la France, voir au-delà, ça c'est du rêve. C'est tellement magique et inhabituel. Tu attèles ta caravane derrière ton camion, tu roules, tu roules. Ensuite, tu désattèles, tu installes tout bien dedans. Puis, tu vas sous le chapiteau, tu retrouves tout le monde et tu commences les répètes. Aussi, tu souris car tu sais très bien que dans une semaine, le même schéma va se répéter et que tu es libre de tes mouvements. Et ça, ça vaut tout l'or du monde.
Alors si je dis que cette année était la plus belle de toutes, pourquoi je la compte comme les autres ? Parce que cette année là, tu m'as oublié. Quand je suis parti, mon souvenir dans ta tête s'est évaporé avec moi. Je ne sais pas si tu te rends compte des choses que tu m'as dîtes. Quand je te l'ai demandé, tu m'as dit oui. Mais je ne te crois pas. Je ne te crois plus. J'ai pardonné, pardonné, pardonné, mais j'ai pas oublié. Une blessure si profonde... un vide. Tu as été jalouse. tant pis pour toi, pour moi, pour nous. Notre amitié. Si je dis ça, là aujourd'hui, c'est parce que j'ai relu comme une conne ce que tu m'avais écrit. Et bordel de merde ce que ça fait mal.
Et Plou'f dans ma tête. Je me noie.
J'ai été voir Avatar aujourd'hui (applaudissement --').
Film magnifique ! Une histoire, un peu beaucoup cul-cul avec les méchants d'un côté, les gentils de l'autre. Mais quelle leçon de vie ! C'est là qu'on se rends compte qu'on est vraiment des gros cons. Nous et notre bêtise humaine. Elle nous perdra. On ne respecte rien et on bousille tout.
Triste vérité s'il en est.
Piix : Mon spectacle. "Fournaise"
Pour en savoir plus : Là ♥ Nous jouerons à la Rochelle, Villeneuve-sur-Lot & Luneville Allez-y c'est permis ! :)
En ce moment je suis perdu. J'ai l'impression de ne plus me connaître, de me détester.
L'autre fois, en rentrant chez moi, j'ai mangé. Rien de choquant à cela n'est-ce pas ? Pourtant, lorsque j'ai eu fini de manger, j'ai ressenti le besoin de recommencer. Manger, manger, manger, manger, … Sur le coup j'ai pas compris et je l'ai fais. J'ai mangé tout ce que je trouvais. Pourquoi ? Mon organisme en a t-il réellement besoin ou est-ce "juste" une Boulimie passagère ? Boulimie rime généralement avec anorexie, mais je bouffe comme 10 et ne me fais pas vomir. –' La seule fois ou je me suis faite vomir c'était pour avoir plus d'abdos... idiot non ? Mais comble de bonheur, ça marche. Pourtant, je ne le referais jamais plus. Je ne comprends pas bordel de merde de ta mère la **** à poile dans un kinder surprise, pardonnez mon langage. Mais là, JE NE COMPRENDS RIEN ! U.u' Bref' .
J'ai pas grand chose à dire dans le fond. Je suis creuse. En ce moment oui. J'ai peut être une solution pour aller mieux. Mais quelle est elle ? Me prendre une bonne grosse race ! Être tellement défoncé, que j'oublierais tout ! Je ne me souviendrais même plus de ma soirée. Mais bon, ma nouvelle résolution de l'année est de ne plus boire donc ça va être dur. Ou pas. Le 'bio' ça fait du bien aussi et c'est bon :). C'est crétin je sais mais ça marche. Après ça va mieux. Nan, mais c'est vrai quoi. Derrière votre ordi, vous êtes surement encore en train de me juger, et vous dire que se défoncer quand ça va pas, c'est vraiment pas une solution. Et bien si ! Si, c'est une solution. Crétine mais s'en est une. Il faut juste être assez maître de soi-même pour savoir dire stop et que cela ne devienne pas une habitude. C'est tellement bon d'être mal. Tu ne te soucis de rien autour, tu fais ta vie en essayant de pas gerbé (hum hum), et tu t'amuses ! Tu te lâches ! C'est tellement agréable. Bien-sur, le lendemain, tu te dis : « Oh ! Plus jamais ! ». Pourtant tu sais pertinemment que dans pas longtemps tu recommenceras, tu aimeras et tu finiras ta soirée en te disant la même chose que la dernière fois. Pathétique nan ? Mais si véridique.
Je ne bois presque plus :) et plus toute seule ! Sur le coup j'ai pas trop géré ><
Pony pony run run en concert au Confort Moderne à Poitiers ! Miaouw' Miaouw' J'y vais ! Mouahahaha :)
J'en ai marre de toutes ces pub pour maigrir que l'on voit à la télé, sur les bandes des blogs, sur les antennes radios etc. Moi je veux grossir !
Si vous avez une idée pour ça, dites-le moi ! x')
Maigre . Maigre . Maigre . Maigre . Maigre .
Je refuse. Je refuse d'admettre, de vous encourager et tout, à m'enterrer dans cette idée que vous avez de moi.
Non, je ne suis pas maigre. Non, je ne suis pas anorexique. Oui, je mange, beaucoup et tout le temps. Oui, c'est ma morphologie.
Je ne vous demande pas de me juger, ni de me saluer en disant, "Salut squelettos". Même si c'est pour rire.
Me le rappeler tous les jours m'atteint. Ça me donne l'impression de ne pas être. Ou d'être moins bien que vous. C'est idiot je sais.
Retenez ceci de moi : J'ai 15 ans, mesure 1m67 et pèse 46 kilos. Je ne les fais pas. Je suis mince. Voilà.
Les gens auraient tendance à me trouver, sage, nature, etc. Mais j'en ai marre de cette image de petite fille mignonne qui porte bien sont prénom 'Angèle'.
Appelez moi 'Mal' ! Et apprenez à me connaître !
Ne vous laisser pas séduire par cette surface plane sans plis que je vous montre. Regardez plus loin et essayer de voir l'invisible. Ce n'est pas impossible. Osez me déshabiller, me creuser et constater qui est véritablement mon vrai moi. Celui qui ne se laisse pas voire...
C'est dur d'être compliqué. Pourtant j'y arrive super bien, je sais pas je dois avoir un don. 
