Je vous aime, bien plus que vous le pensez, bien plus que vous m'aimez.
Mais je vous déteste et ça, bien plus que je ne vous aime.
Relisez bien et comprenez la vraie signification de mes mots (maux ?).
Si toute fois quelqu'un voit ceci.
Dimanche 2 janvier 2011 à 21:17
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Mardi 30 novembre 2010 à 20:59
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Jeudi 18 novembre 2010 à 23:17
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Vendredi 2 juillet 2010 à 1:21
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Mardi 11 mai 2010 à 21:32
J'y arrive pas, j'me sens absente. J'souris pour dire que ça va. Parce qu'au fond j'sais plus quoi penser. J'suis bien là. Mais j'voudrais tellement plus. J'voudrais repartir. Sans jamais revenir. Sillonner la France. Rester une semaine là, un mois ici. Pas plus. J'veux juste ça. Vivre. Une caravane, un chapiteau, une scène, une vie. Liberté. J'aimerais tellement y retourner. Faire pleurer les gens, les faire sourire, leur donner tout ce que j'ai en moi pour les voir réagir. Être heureux. Simplement. Faire mes cours dans le salon de ma caravane au lieu de rester enfermé dans un putain de lycée. Regarder par ma petite fenêtre et voir des gens rigoler en faisant des équilibres. Ici, la même rengaine, les jours qui passent et qui n'en finissent plus. J'suis dans cette salle de cours, pourtant, en vrai je suis parti. Revoyant toutes ces images que je garde plus que précieusement. Cette année o7/o8 qui a fait ma fierté. Voyageant, encore et toujours pour ne jamais rester au même endroit. Voyager et être heureux d'être là. Rencontrer des gens fabuleux, s'en détacher. La vie en accélérée. Les jours passent mais ils sont toujours là. Invisibles. Je me rappelle de tout ces moments passés, qui m'ont fait frémir, pleurer, rigoler, chanter, m'exprimer. J'ai tant besoin de cette bouffée d'air pur. De cette vie au jour le jour. De se rêve éveillé. Ici, je suis comme un oiseau enfermé dans une cage à qui ont fait bêtement des sourires. Comme un papillon qui n'attends que le jour où il pourra enfin s'envoler au lieu de ternir encore et toujours pour mourir bientôt.
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Mercredi 28 avril 2010 à 22:23
Fumer une clope, au soleil, un carnet à dessin posé aux pieds, une brise fraiche qui soulève nos cheveux pour venir doucement s'écraser sur notre nuque. Une couronne de pâquerettes dans les cheveux, les jambes à l'air pour bronzer dans le but de rattraper les dégâts de l'hiver. Une pince à épiler pas trop loin, de la musique qui nous emporte loin, ou simplement le silence. La fumée qui s'évapore comme nos envies, la cigarette qui se consume trop vite comme notre vie. Les brins d'herbes qui chatouillent nos pieds, les coccinelles et autres trucs moches viennent nous tenir compagnie dans notre immense solitude voulu, la tête dans les nuages et les yeux dans les étoiles. On se perd dans la chaleur et la grandeur de ce monde, on cherche sans trouver, les réponses aux questions que l'on se pose. Qui suis-je réellement. Pourquoi est-ce que les poules c'est cons comme ça. Ou pas. Insouciante, je regarde le vent pousser les nuages et mes questions. Dans mon univers je me perds sans pouvoir retrouver le chemin. Alors je me lève, secoue ma jupe pour ôter quelques brins d'herbes, et je repars dans le flot de la vie, qui nous porte, nous emporte, nous tient, nous retient, nous tue, sans revivre.
J'aime bien le Printemps.
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Vendredi 23 avril 2010 à 19:09
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Lundi 5 avril 2010 à 22:51
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Lundi 29 mars 2010 à 3:19
C'est le temps des moussons dans mes yeux et les tempêtes qui ravagent mon coeur n'ont de cesse de souffler.
Le Mistral dans mes cheveux les emmêlent et cache mes yeux rouge et ma tête bouffie par les coups que je prends chaque jour.
Je n'existe pas, plus, j'en ai plus envie. Supporter la douleur des autres chaque jour et savoir que se soir en rentrant il n'en n'auront rien à faire des autres.
Les gens me donne envie de vomir, se croyant tous plus mal en point que les autres ne pensant qu'à eux. Égoïste. Avare de leurs bonheurs et de leurs bien-êtres. Je ne suis pas triste mais juste assez réaliste pour vous dire ça. Je ne vous aime pas. Non, loin de là. Même pas fichu de voire qui je suis. Le corps meurtri par les remarques et les sous-entendu. Je vous emmerde. Je pari que vous n'êtes pas capable de me dire qui je suis vraiment.. Ahahah je rigole de votre insouciance, vos pas hésitant. Je vous attends. Je suis qui je suis, quelqu'un que vous ne connaissez pas. Cela vous arrange sûrement. Vous me voyez comme vous avez envie que je sois. Alors je suis, selon vous. Selon vos envie. Celle qui rie. Celle qui console. Celle qui pleure. Je ne suis pas, plus. Vous m'avez eu.
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Samedi 27 mars 2010 à 11:57
"Le malheur des uns, fait le bonheur des autres."
Mon cul ouais ! Ca marche aussi à l'inverse.
Regarder les autres être heureux, ne sachant pas où ils puisent la forces de l'être. Ils se réfugient dans les bras de ceux qui les aimes et qui les protèges. Et moi j'vais où ? J'essuie d'un revers de la main toutes les peines et les histoires d'amour que les gens viennent me raconter. Moi j'ai moi, moi et un vide, un mur. Arf' ça fait un peu désespérée mais bon, je suis désespérée alors à quoi bon mentir sur ce que je ressens en ce moment. Solitude. Putain. Les gens me font rire, je rie de leur malheur et meurt de leur bonheur. Oui, quand on est heureux on aime bien le dire à tout le monde, mais pourquoi à moi. Moi j'ai mal alors ta gueule. Tu le sens le couteau que tu m'enfonces dans la poitrines là ? C'est bon, t'aimes ça ? J'veux tout casser... vous vexer et vous blesser au point d'en pleurer. Mais je le fait pas. J'aime pas décevoir.
Je suis moche. Conne. & Trop gentille. J'voudrais dire stop, dire non quand on me demande un truc avec des yeux de chat, me mettre réellement en colère contre les gens à qui je n'oserais pas par politesse et gentillesse et surtout garder mon amour. Trouver les mots qui vont bien, sourire pour faire bien, jouer l'amie fidèle... j'peux plus, j'ai mal au cœur ça va trop vite. J'voudrais juste mourir. Lâchement. Et les regarder s'en foutre pour avoir une énième raisons de pleurer en cachette. J'ai plus envie de jouer mon rôle. J'veux juste vous cracher à la gueule et vous expliquer que vous ne valez pas mieux que moi. Ne me prenez pas pour ce que je ne suis pas. Je vous emmerdes.
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Jeudi 4 mars 2010 à 21:30
Plus on grandit plus on change. Le truc c'est qu'on ne s'en rends pas forcément compte. Ou pas directement. J'sais pas trop. Quand je regarde les gens je me dis, mais putain ils ont trop changés ! Mais peut-être aussi que c'est moi.. non, c'est sûre mais est-ce que ça serait pas plutôt tout le monde qui change ? Enfin. Je vois les gens autour de moi. Ils sourient se prennent dans les bras et se disent qu'ils s'aiment et s'aimeront toute leur misérable vie. Mais pourquoi moi je n'y arrive pas et pourquoi est-ce que pour y arriver je suis obligé de me forcer. J'suis largué. Les gens ont tous le sourire, rigole, profite de la vie, se dispute, se réconcilie, tombe amoureux, se détache... pourquoi moi tout ça ne m'arrive pas ? Alors ok, un sourire c'est pas dur, ni profiter de la vie, mais je sais pas moi ça me demande une certaine réflexion. Pourquoi est-ce que je réfléchie tout le temps. Pourquoi est-ce que je ne suis pas capable de foncer quitte à me ramasser ? Je sais pas mais les gens ils sont tout le temps en train de s'engueuler avec d'autres mais ça je comprends pas. Pourquoi est-ce que moi je m'engueule avec personne ? ça peut paraitre vraiment trop con comme question mais c'est vrai quoi ! Ça signifie quoi ? C'est moi qui suis trop gentille ? J'ose pas dire aux gens ce que je pense réellement d'eux. J'peux pas. C'est trop méchant. Comment on peut dire à quelqu'un qu'on ne l'aime pas ? Un simple non, un simple je ne t'aime pas, tu ne m'intéresse pas ? Comment ? C'est trop méchant. Mais je me demande si le fait justement de ne rien dire laisse pas quelques espoirs inexistant. En faite je suis un peu méchante sans le vouloir. Putain. J'aime pas ça. J'ai peur de m'engager, de faire un truc que je regretterais après. Dire la vérité aux gens c'est trop dure pour moi. J'ai peut être peur de l'entendre. J'dois avoir un problème... à méditer. Non, j'en ai marre de réfléchir à tout. Que ça soit de la façon dont je marche à comment je vais parler ou regarder les gens. Ça fait un peu parano mais c'est juste que je n'ai absolument pas confiance en moi. J'ai peur de la vérité de ce que pense les gens. Si j'avais un pouvoir, ça serai de lire dans les pensées des gens ou me rendre invisible pour les écouter parler. Et ça depuis toute petite. mais pourquoi ?? Déjà, en écrivant au kilomètre sur ma pensé je viens de me rendre compte que si je ne disais pas, ou plutôt si j'ai peur de dire la vérité aux gens ou se que je pense d'eux c'est juste parce que moi j'ai peur. Peur d'être jugé. Ça me pourri la vie. Faire un pas et me dire est-ce que les gens derrière moi trouve que je marche bizarrement ? Est-ce qu'ils vont me juger juste par rapport a ça ? Putain j'en ai juste ras le cul d'entendre les gens se plaindre. J'veux crier et montrer aux gens ma face cachée celle que je ne dévoile à personne encore par peur d'être jugé. Alors je montre une Angèle que tout le monde a envie de voir, jusqu'à trop de perfection et que du coup je me pose encore plus de questions, est-ce que cette fausse Angèle plait plus aux gens que la vrai et inversement ? Je voudrais être comme les gens aimerait que je soit. Mais c'est dur et ça fait mal, j'encaisse , avance et doute. Doute. Doute. Doute. J'sais pas j'sais rien et putain ce que ça fait mal. J'voudrais être à la fois, la Angèle tel que les gens aime la voir, souriante même quand ça va pas, celle qui avec son sourire le redonne aux autres, la généreuse ou la timide qui d'un coup devient la folle un peu curieuse, celle qui conseil, celle à qui on peu jeter son complexe de poids sans dévolu à la gueule sans pour autant qu'elle t'en veuille... j'voudrais tant, mais elle, elle me fait trop mal. Une impression d'usurpation, de fausse identité. J'voudrais aussi, surtout, être la Angèle, grande gueule, qui n'a pas peur de faire ou d'avoir mal, celle qui s'en fout de tout mais qui s'y intéresse quand même, celle qui n'a pas peur de pleurer devant les gens, celle qui pourrais te faire la gueule et t'en vouloir quand tu l'enfonces encore un peu plus chaque jour en lui disant qu'elle est maigre (je ne suis pas maigre mais mince bordel de merde de cul à chiottes et j'y peut rien ça s'appelle morphologie !) alors que c'est toi qui est gros. Voilà, je voudrais être elle. Mais elle aussi me fait mal. J'ai envie d'essayer de vous plaire. Je sais que je n'en ai pas besoin, mais c'est plus fort que moi. C'est peut être ça changer, grandir.
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Lundi 8 février 2010 à 23:52
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Lundi 11 janvier 2010 à 23:15
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Dimanche 10 janvier 2010 à 23:09
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Dimanche 10 janvier 2010 à 15:29
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Dimanche 10 janvier 2010 à 0:03
mutilation.mentale
Samedi 9 janvier 2010 à 21:14
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