Affreusement.Votre

Je te le dis et reredis... Je me reconnais parfaitement dans tes mots, dans tes maux... Je connais cette douleur qui empoigne la gorge et compresse la poitrine, celle que tu retiens et qui te brûle, comme un foyer trop géant, tellement immense que tu ne peux pas le cacher à tout le monde, et qu'un jour finalement tu t'ouvres... A elle, a lui... A n'importe qui, du moment que tu peux, un jour sortir de cette gorge nouée ce qui te tien a coeur... Je connais ça mon Anjou... Je te comprends, je pourrais presque deviner tes phrases se dessiner sur mes lèvres, et mes mots épouser ta bouche.
Je me reconnais dans tes textes, te reconnais dans certain des miens.
Je ferais tout pour t'arracher un foutu sourire, tu sais, celui qui monte jusqu'aux oreilles, celui qui fait qu'on a mal aux joues parce que ce sourire est trop insistant. Je pourrais tout faire, monter le mont-blanc en maillot de bain, l'Himalaya en combinaison de ski...

Mais pour le moment je m'en fou. La tout de suite, je veux que tu saches, que tu te rendes compte, que ça rentre dans ta mémoire, que mes mots s'impriment en encore noir, qu'ils s'y gravent qu'ils y trouvent une place. Je veux que tu ais conscience de tout l'amour que j'ai pour toi. Je t'aime autant que je me hais, c'est-à-dire beaucoup beaucoup beaucoup.
Je voudrais que mes épaules essuient chacune de tes larmes, et que mon visage soit ébloui par tous tes sourires. Je voudrais que tu sois heureuse, d'un bonheur mérité, celui qu'on cherche toute sa vie et qu'on fini par trouver, ici dans un recoin, dans l'oeil d'une personne, dans l'ombre d'une rue. Celui qui te saisi et tu ne sais pas pourquoi, tout d'un coup tu es heureux. Je voudrais te donner tout ce que j'ai pour que tu sois heureuse comme jamais tu ne l'as été. Je veux voir briller dans tes yeux cette étincelle de bien etre, celle qui dit "tout va bien" car les mots mentent, mais les yeux jamais. Les yeux restent sincères tout le temps, et les tiens t'ont trahis.

Je t'aime mon Anjou, ce ne sont pas des bêtises, je ne dis pas ça pour te faire sourire, ou te faire pleurer (je sais pas), je dis ça, parce que dans ma tête il est évident que sans toi je ne suis plus rien, il est évident que ma vie sans toi n'a aucun sens. Dans mon coeur, il est évident que t'es la première, la double, la moitiée. La jumelle que je n'ai jamais eus tu vois. Celle avec qui je me complète parfaitement, celle sans qui je ne suis pas moi... Celle que je veux partager avec personne (possessive? Non jamais =) ) celle que je veux garder avec moi tout le temps que je vivrais...
Je t'aime mon Anjou...